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29 mai 2017
#activités
Groupama, assureur mutualiste et acteur engagé de la vie locale, s'intéresse à travers une série d'enquêtes à la vie des Français. Il s'agit de revenir sur certains événements importants de leur vie afin d'en partager le bilan qu'ils en tirent. L'ambition de Groupama : mettre en lumière la " vraie vie " des Français ! Pour débuter cette série d'enquêtes, Groupama porte son regard sur les néo-ruraux, ces citadins qui ont choisi de partir s'installer en zone rurale. Qui sont les Français ayant récemment fait ce choix ? Quel bilan tirent-ils de leur changement de vie ? Autant de questions que Groupama a souhaité analyser grâce à ce sondage réalisé par IPSOS.
Choisir le rural pour la qualité de vie, avant tout !
Pourquoi certains urbains décident-ils de faire leur retour à la terre et de s’installer dans une commune rurale ? Avant tout pour gagner en qualité de vie. Pour 42% des néo-ruraux, ce choix de s’installer à la campagne a été motivé par l’opportunité de profiter d’un logement plus confortable. Pour 41% d’entre eux, il s’agissait de se sentir plus proches de la nature.
Cette prime à la qualité de vie se retrouve aussi dans la manière dont les néo-ruraux préparent leur installation. En effet, plus de 9 néo-ruraux sur 10 ne connaissaient pas du tout ou relativement mal leur future commune d’emménagement avant de s’y installer. C’est donc bien l’envie de s’installer à la compagne de manière générale qui motive les néo-ruraux.
Surprise, l’accès à Internet n’est pas un critère qui entre prioritairement en compte dans le choix du lieu de résidence : seuls 42% des néo-ruraux en font un critère déterminant ou important. Plus étonnant encore, les jeunes (40%) sont légèrement moins enclins que les seniors (44%) à faire d’Internet une priorité. Un faible niveau qui s’explique peut-être par la progression de la qualité de la connexion en zone rurale, mais aussi par le penchant d’une partie des néo-ruraux pour la déconnexion ?
La néo-ruralité, un réel succès pour ceux qui ont tenté l’aventure
Les résultats du sondage réalisé par IPSOS montrent que l’installation de ces néo-ruraux est une réelle réussite et qu’elle s’accompagne d’une forte volonté d’intégration dans la vie locale. En effet, ils sont quasi unanimes (96%) à se dire satisfaits de leurs conditions de vie actuelles. A tel point que pour la grande majorité des néo-ruraux, la vie en ville est désormais rangée au rang des mauvais souvenirs. En effet, pour 50% d’entre eux retourner vivre dans une grande ville semble inimaginable.
De plus, ils ne sont que 15% à juger que les conditions de vie étaient finalement meilleures en zone urbaine. Par exemple, quand on interroge ces néo-ruraux sur l’éloignement des services et commerces, souvent perçu à priori comme un des inconvénients majeurs des milieux ruraux, ils sont plus de 7 sur 10 à les considérer comme suffisamment proche de chez eux.
Qui sont ces néo-ruraux ?
Les néo-ruraux sont sensiblement plus jeunes que l’ensemble des ruraux : 38% d’entre eux ont moins de 35 ans, contre 25% seulement pour les ruraux. Une jeunesse qui est un facteur de vitalité supplémentaire pour les zones dans lesquelles ils décident de s’installer. Enfin, les néo-ruraux ne se distinguent pas réellement en termes de catégorie sociale avec une répartition en termes de CSP quasiment similaire à celle de l’ensemble des ruraux. Les clichés sur des néo-ruraux qualifiés de » bobos » semblent donc bien éloignés d’une réalité dans laquelle les catégories populaires comptent pour 36% des néo-ruraux !
Sans surprise, les néo-ruraux s’installent avant tout dans les régions où coexistent une bonne qualité de vie et un réel dynamisme économique. Ainsi, c’est le nord-ouest de la France qui fait figure pour eux de véritable Eldorado, 38% des néo-ruraux s’y étant installés alors que cette région ne comprend » que » 34% de l’ensemble de la population rurale. Les néo-ruraux sont également surreprésentés dans le sud-ouest (21% contre 15% de l’ensemble des ruraux).
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